"...Il nous prévient de
l'erreur, voici le fond de l'œuvre de Cavazza. Nous dit, il nous dit qu'il a
reconstruit une vérité, la vraie, en usant de ses lambeaux que l'on croyait
perdus à jamais et qui ne demandaient qu'à revivre.
Son œuvre n'appartient à aucune École. Les épluchures de forme
qu'il nous présente font semblant d'être accrochées à de l'Histoire de
l'Art. Et elles le sont..."
Lire la Préface du Catalogue Général par
Bruno LAVILLATTE (Philosophe, Historien et Critique d'Art)
Depuis octobre 2006, Artiste permanent de la "Galerie du Théâtre"
(42, rue de la Scellerie - Tours)
En janvier 2005 un Jury international composé de
Directeurs de Musées et Galeries, Critiques et Historiens d'Art, le
sélectionne pour participer en décembre 2005 à la 5ème Biennale
Internationale d'Art contemporain de Florence.
Une nouvelle fois en mai 2006 il est invité à participer à la 6ème Biennale
Internationale d'Art contemporain de Florence qui se tiendra au mois de
décembre 2007.
Au mois d'avril 2005 a lieu sa première vente aux enchères à Drouot Neuilly. Elle permet la cotation par Drouot, Akoun et
Artprice.
Gérard CAVAZZA est un remarquable
acteur... Son terrain d'excellence est la peinture dans ce qu'elle permet de rêves
quand elle est alliée aux mots, quand elle reflète "la vie, les rires,
les pleurs et la mort…" parfois, quand elle permet la communication dans
ce qu'elle a de plus instinctif.
L'abstraction ne naît pas du hasard.
Avec Gérard CAVAZZA, elle est Le Symbole, elle reflète un travail intellectuel
acharné jusqu'à la douleur, la recherche de la juste proportion, de l'éclat,
de la forme qui permet de créer cette fusion entre l'œuvre, son auteur, sa
volonté et l'amateur dans ce qu'il a d'innocence, mais aussi d'appétit et de
bonne volonté puisqu'il regarde et qu'il est présent.
Certains éléments, au fil du temps,
sont récurrents. Les angles droits qui rythment la composition, d'autres fois
le chat câlin rêveur, attachant et langoureux, nostalgique mais statique sans
aucune volonté d'être ailleurs, alors que son créateur veut s'évader vers le
soleil de sable, la chaleur, retrouver et découvrir ces visages voilés, ces
femmes accroupies, ces décors de feu.
Pour atteindre ces lieux, Gérard traversera des paysages sans fin, sans relief,
réels ou lunaires qui sont admirablement évoqués. Il lui faudra, dans sa
quête, traverser ces foules qu'il évoque, qu'il craint, mais aussi dans
lesquelles il voudrait se fondre, s'abriter.
Des variations sur les formes abstraites, il va rentrer dans les cathédrales,
dans leurs mouvements et les colorer jusqu'à l'infini ; dans des dominantes
bleues, rouges et ocres, le ciel et le feu, les entrelacs des piliers et des
voûtes, le délire, le rêve et l'instabilité pour revenir peut-être apaisé
et rêveur.
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En mai 2006, Monsieur Renaud Donnedieu de Vabres
Ministre de la Culture et de la Communication
visite l'exposition Euclide funambule
Euclide Funambule

White spirit
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